En période de crise mondiale, il était parfois imposé de se serrer la ceinture et d’aller manger aux « pâtes » comme on l’appelait. Il fallait pour cela attendre 22h qu’il s’installe dans une petite rue sombre.
En réalité, pour 50 centimes d’euros, on avait droit à une portion de pâtes chinoises (vermicelles, udon, tagliatelles chinoises) ou de riz, rissolée dans un wok avec des pousses de soja, épinards, capres et sauce teriyaki.
Très gouteux final qui parfois laissait de mauvais souvenirs à mon appareil digestif…
Admiez plutot le chef…